En plein milieu de la pandémie mondiale de COVID-19, la Chine a oeuvré sans relâche pour surmonter le pic de l'épidémie et les gens commencent à retourner progressivement au travail et à une vie normale.
Force est de constater que l'humanité fait face à un tout nouveau virus, encore inconnu il y a quelques mois. La réponse à la propagation du nouveau coronavirus est un processus de découverte scientifique et médical qui prend du temps et qui est loin d'être terminé. La Chine a fait tout ce qui était en son pouvoir pour être transparente, en partageant les informations pertinentes avec la communauté internationale en temps opportun.
Il est grand temps de laisser parler les faits. Selon le calendrier des mesures prises contre le COVID-19 publié le 8 avril par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la Chine a signalé un ensemble de cas de pneumonie dès le 31 décembre 2019 et identifié un nouveau coronavirus. L'OMS s'est placée en situation d'urgence pour y faire face depuis le 1er janvier.
Depuis le 3 janvier, la Chine informe régulièrement l'OMS, les pays et régions concernés sur la propagation du virus. Le 12 janvier, la Commission nationale de la santé (NHC) de Chine a partagé avec l'agence onusienne des informations sur la séquence génomique du nouveau coronavirus, une base solide pour les efforts mondiaux de recherche et de développement d'un vaccin.
Le gouvernement chinois a accordé une grande attention à la diffusion d'informations exactes et opportunes sur l'épidémie. Des conférences de presse sont organisées chaque jour pour répondre aux questions qui préoccupent le public et la communauté internationale, tout comme sont publiés les derniers développements dans la recherche scientifique, le diagnostic et le traitement de cette pandémie.
Depuis fin janvier, des mesures de prévention et de contrôle mis en œuvre en Chine, telles que le confinement et la quarantaine obligatoires des villes, les gestes barrières dans les lieux publics, ont permis, selon l'OMS, de modifier le cours dangereux de la propagation rapide du virus et d'éviter des centaines de milliers d'infections.
Face à "la crise la plus difficile que nous ayons connue depuis la Seconde Guerre mondiale", comme l'a dit le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, il n'est pas question pour chaque pays d'agir seul dans son coin.
Restant fidèle à la construction d'une communauté de destin pour l'humanité, a souligné le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères lors d'une conférence de presse le 10 avril, le gouvernement chinois a fait don de fournitures médicales, notamment des masques médicaux, des blouses de protection et des tests de dépistage, à 127 pays et quatre organisations internationales.
La Chine a également fait don de 20 millions de dollars à l'OMS et expédié 13 groupes d'experts médicaux dans 11 pays. Des collectivités locales, des entreprises et des associations chinoises ont fait don de fournitures médicales à plus de 100 pays et régions et organisations internationales.
A l'heure où nous parlons, plus de 200 pays et régions dans le monde sont toujours en proie à la pandémie. Sachant à quel point il est difficile de lutter contre le COVID-19, la Chine se tient au côté de toutes les populations du monde pour s'en sortir par le haut. Face à cet ennemi commun de l'humanité, personne ne peut faire cavalier seul, encore moins, à ce stade crucial, blâmer quiconque.
Comme l'a dit Cui Tiankai, ambassadeur de Chine aux Etats-Unis, lors d'une récente interview, c'est l'heure de la solidarité, de la collaboration et du soutien mutuel.
- Institut des Études sur les Frontières chinoises
- Institut d’Études sur le Japon
- Institut des Études de l'Europe
- Institut des Études sur l'Amérique latine
- Institut des Études sur les États-Unis
- Institut de Linguistique
- Institut d’Économie industrielle
- Institut d’Économie
- Institut du Développement rural
- Académie du Marxisme
- Institut de la Littérature
- Institut de la Philosophie
- Institut de l'Economie et de la Politique mondiales